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    INVISIBILI

    Aurélien Bory / Compagnie 111

    • Invité en résidence à Palerme, Aurélien Bory a fait du choc de sa rencontre avec Le Triomphe de la mort, une fresque murale du XVe siècle devenue le symbole de la ville, le support visuel et philosophique à sa nouvelle création. Une partition scénique vertigineuse pour un ensemble de scènes « invisibles » où s’entrecroisent la danse, la musique et le chant.

      L’auteur, metteur en scène et directeur de la compagnie 111 a le don de rendre vivante la scénographie ! Entre ses doigts la toile où figurent deux peintres, des musiciens et des femmes qui dansent, s’anime mystérieusement et revêt par sa chorégraphie une nouvelle dimension ancrée dans la réalité contemporaine.Le spectacle, tel un roman visuel, se déploie en une constellation de récits transcendés par la présence charismatique de Gianni Gebbia, saxophoniste-compositeur à la carrière internationale, le chanteur nigérian Chris Obehi qui a commencé sa nouvelle vie à Palerme en chantant en sicilien, et des danseuses vues par Aurélien Bory « comme les filles de Pina Bausch » : Valeria Zampardi, Blanca Lo Verde, Maria Stella Pitaresi, Arabella Scalisi. Comme toujours avec l’artiste, son théâtre de l’espace et du corps floute les frontières entre les disciplines et nous transporte vers un ailleurs fascinant. Vers « une peinture dansée du monde entre extase et désillusion ».

    • Mise en scène Jean-Christophe Meurisse Avec Blanca Lo Verde Maria Stella Pitarresi Arabella Scalisi Valeria Zampardi Chris Obehi Gianni Gebbia Conception, scénographie et mise en scène Aurélien Bory Collaboration artistique, Costumes Manuela Agnesini Collaborateur artistique et technique Stéphane Chipeaux-Dardé Musique Gianni Gebbia, Joan Cambon Musiques additionnelles Arvö Part “Pari Intervallo” (transcription Olivier Seiwert), Léonard Cohen “Hallelujah”, J.S. Bach “Gigue, 2ième suite for Violoncelle” Création lumière Arno Veyrat Décors, machinerie et accessoires Hadrien Albouy, Stéphane Chipeaux-Dardé, Pierre Dequivre, Thomas Dupeyron Régie générale Thomas Dupeyron Régie plateau Mickaël Godbille, Thomas Dupeyron Régie son Stéphane Ley Régie lumière François Dareys ou Arno Veyrat Directrice des productions Florence Meurisse Administratrice Agnès Lété Chargé de production Loïc Castells Presse Agence Plan Bey Production Compagnie 111 – Aurélien Bory / Teatro Biondo di Palermo Coproduction Théâtre de la Ville – Paris, ThéâtredelaCité – CDN Toulouse Occitanie, La Coursive – Scène nationale de La Rochelle, Agora Pôle National Cirque Boulazac Aquitaine, Le Parvis – Scène nationale Tarbes Pyrénées, Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, La Maison de la Danse, Lyon – Pôle européen de création, Fondazione Teatro Piemonte Europa – Teatro Astra, Turin. Avec le soutien de la Convention 2023 Institut Français / Mairie de Toulouse Accueil en répétitions et résidences Théâtre de la Digue – Toulouse, Teatro Biondo di Palermo (IT). La Compagnie 111 – Aurélien Bory est conventionnée par le Ministère de la Culture - Direction Régionale des Affaires Culturelles Occitanie. Elle est aidée au fonctionnement par la Région Occitanie / Pyrénées - Méditerranée au titre du dispositif d’aide aux opérateurs structurants et par la Mairie de Toulouse. Elle reçoit le soutien du Conseil Départemental de la Haute- Garonne et de la Mairie de Toulouse pour certaines de ses créations. La Compagnie 111 reçoit le soutien l’Institut Français pour certains de ses projets à l’international.

    Durée :

    1H10
    • 23 novembre 2024

      • 20H30

    Tarifs

    TARIF : 25€ / CARTE : 17,50€
    TARIF FAMILLE & JEUNE : 12,50€ /  TARIF RÉDUIT : 19€

    Pour le tarif famille, merci de vous rapprocher de la billetterie au 04.94.56.77.77

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    Médias

    Le metteur en scène a créé son nouveau spectacle à Palerme, dans lequel il a mis ses visions très inspirées et la splendeur de l'histoire de l'art.

    À l’heure où le labyrinthe du réel semble nous attirer dans une inquiétante nébuleuse, c’est le théâtre dans ses formes les plus élevées qui offre un rafraîchissement. 

    Invisibili » irradie autant qu’elle bouleverse.

    Loin du lugubre, le spectacle illustre nos fléaux modernes avec poésie et douceur.